Le clivage mondialistes/patriotes, nouvelle façade d’une guerre de domination mondiale

Le mondialisme est un totalitarisme.

Premier plan : le mondialisme prônant une économie mondialisée et le patriote souverainiste national

Le clivage entre mondialistes versus patriotes fait croire à une alternative à l’ancien clivage gauche / droite passé de mode, et qui n’a toujours été qu’une illusion et les facettes d’un même système de domination. Les « patriotes » censés être incarnés par Trump, Poutine, Le Pen, Zemmour, Dupont-Aignan… sont des oppositions contrôlées ou du pluralisme de façade, d’autres font croire qu’ils sont l’alternative aux mondialistes alors qu’ils sont sous contrôle de services secrets usant de moyens de chantages, de grands organismes financiers et quelques oligarques dans des groupes (restreints, fermés et plus ou moins occultes), des instances supra-nationales non élues. Tous sont pour la mise en place de moyens de contrôles généralisés des populations : surveillance, tyrannie sanitaire, monnaie numérique (dictature totale). N’en déplaise aux poutilônatres, le président de la fédération de Russie met en place la monnaie numérique clé de voute de l’agenda du Great Reset mondialiste, suit les politiques sanitaires et ses pseudo-vaccins, et prépare le passage de la future Nouvelle Route de La Soie vers l’Europe avec ses alliés chinois.

Ces représentants politiques patriotes, appelés aussi « populistes » (terme fourre-tout comme beaucoup d’autres) ou « souverainistes » sont un plan B pour faire croire à une alternance face aux tensions générées par l’immigationnisme incontrôlé et un wokisme voué de fait à sa disparition rapide : il est le dernier avatar d’un individualisme forcené et l’aboutissement du suicide occidental, la fabrication d’individus dépressifs, les non genrés ne se reproduiront pas et c’est chez eux que le taux de suicide est le plus élevé.

Cette focalisation sur les tensions liées à l’immigationnisme incontrôlé et au wokisme sont aussi là pour détourner la colère sur ces cibles faciles et masquer les vrais enjeux : la dépopulation, l’appauvrissement et la mise sous contrôle des peuples via les systèmes numériques de contrôle totalitaire, sur le modèle du crédit social de la Chine communiste, justifié en Occident par la farce écologiste du carbone permettant aux citadins de se donner une âme de sauveurs de la planète (une fumisterie de religion dégénérée, le carbo-réchaufisme). Ceci alors que le plus grand pollueur du monde est de très loin cette Chine communiste fournisseur de main-d’œuvre docile pour produire et maintenir le confort occidental.

Ceci est l’aboutissement d’un programme proprement génocidaire et satanique commencé il y a très longtemps et ne se cachant plus, mais restant invisible pour une majorité de morts-vivants baignants dans le confort, l’insouciance, la passivité et la soumission.

Second plan : mondialisme wokiste progressiste et patriotisme traditionaliste

C’est une façade à des fins clientélistes (récupération politique à des fins électorales) car derrière ce deuxième clivage il y a une réalité sociologique dans les populations de nombreux pays occidentaux : l’opposition entre les modes de vie des citadins de grandes métropoles wokisés et écolofascistes idiots utiles de la décarbonisation avec des métiers du secteur du service bien payés (inutiles en majorité, profitant du mondialisme, de l’obésité bureaucratique et des subventions), et de l’autre côté des ruraux de la classe moyenne bien plus nombreux, plus autonomes et éparpillés, les rendants plus difficilement contrôlables que les citadins « parqués ». Dékoulakiser, comme l’on fait l’URSS et la Chine communiste a permis de dépeupler et détruire l’autonomie alimentaire des campagnes et rassembler des esclaves socialement lobomotisés dans les grandes villes.

L’opposition traditionaliste au wokisme se trouve dans les États ruraux des USA. La Fédération de Russie et la Chine sont restées des sociétés traditionnelles (pour parler des grandes puissances).

Les pétro-monarchies du Golfe sont dans leurs petits arrangements idéologiques entre extrémisme religieux, perpétuation de traditions et goût pour le matérialisme, le luxe et le consumérisme à l’occidentale (autrement dit : le satanisme), finalement plus proches des citadins (en enlevant le wokisme et l’écologisme).

La France périphérique, elle, est celle des laissés pour compte du mondialisme qui n’ont pas trouvé de poste confortable de fonctionnaire dans la bureaucratie technocratique : chômeurs de la désindustrialisation, petites entrepreneurs, petits commerçants, petits exploitants et agriculteurs, étouffés par les taxations et la concurrence déloyale, le captage et le vol des richesses par les technocrates, les lobbies internationaux et leurs paradis fiscaux, le parasitisme du haut (bureaucratique) et du bas (assistanat et subventions).

Le Schwabisme n’est pas multipolaire, c’est un trotskisme pur

Tout n’est que façade : le Nouvel Ordre Mondial dont Karl Schwab est le représentant commercial ne peut être qu’unipolaire. Il n’y a juste que des instanciations différentes entre les pays occidentaux sous influence de la culture américaine et occidentale dans une logique suicidaire de subversion des valeurs civilisationnelles et les autres pays de cultures plus traditionnelles qui veulent aussi leur part du gâteau mondial. Les BRICS sont un regroupement autour de l’instanciation Chine/Russie et sa future Nouvelle Route de La Soie.