La République jacobine des communards et le massacre de la province

Non contents de leur suffisance et de leur condescendance (ou cons descendants en province, c’est selon), nombre de parisiens (importés ou pas, ceux qui ont perdu leur accent) sont d’abord responsables de 3 grands massacres sur la population française de province : guerre contre la Prusse (voir le texte de l’historien Philippe Fabry ci-dessous), massacres en Vendée (y compris femmes, vieux et enfants, par exemple 110 enfants de moins de 7 ans dans le village de Lucs-de-Boulogne) et 1ère guerre mondiale qui a décimé la population masculine et dépeuplé nos campagnes.

Ce sont ces mêmes parisiens, toujours aussi cons et suffisants qui ont voté le plus massivement pour Macron et sa clique de violeurs de libertés constitutionnelles, destructeurs de l’économie et éborgneurs de manifestants pacifiques.

La République jacobine des communards c’est le suicide d’un pays extraordinaire à cause d’une bande de fumiers vivants à Paris, massacrant la Province, la technocratie étatique et européenne de connivence avec le totalitarisme hégémonique mondialiste.

Anniversaire de la Commune : quand les cons de Parisiens emmerdent la province et que pour une fois elle s’est vengée.

Les communards descendent dans la rue en beuglant comme des gros cons qu’il faut faire la guerre à la Prusse parce que ils ont lu une dépêche comme quoi notre ambassadeur aurait été snobé par le roi.

Beuglent tant et si bien qu’ils forcent la main de l’empereur malade et fatigué. L’impréparation de l’armée ? L’équipement vieillissant? Les schémas de mobilisation et de concentration absolument pas au point? Tout ça leur passe au dessus de la tête « GNEU VEUT COGNER DU PRUSSIEN GNEU 1793 »

Bien sûr, la guerre, ce sont les fils de paysan qui la font. Le communard entend bien rester à Paris à picoler tranquille.

Quand ce qui devait arriver arrive et que les pruscos en supériorité numérique passent à l’offensive et prennent de vitesse l’armée impériale (quitte à passer proche d’être tronçonnés à plusieurs reprises mais la prise de risque est une doctrine au GeneralStab) pour l’encercler dans la cuvette de Sedan, le communard trouve intelligent de faire une révolution et de proclamer la république « GNEU 1793 ». On remarque que le communard n’a pas encore tiré un coup de fusil contre les prussiens.

Comme les armées improvisées du gouvernement de défense nationale font ce qu’elles peuvent mais ne peuvent pas grand chose, les casques à pointe arrivent sous les murs de paris
Alors que les forces du gouvernement de défense nationale tentent de contrer la mise sous siège de Paris les communards lui reprochent d’être inactif et … tentent de renverser le gouvernement. Participer à La Défense? Et puis quoi encore. Dans le même temps les bavarois (qui eux ont oublié de passer leur existence à picoler) enlèvent Bagneux à la baïonnette.

Alors que la guerre est perdue et que la France paysanne décide légitimement d’arrêter les frais en élisant des parlementaires sur un programme de paix parce qu’ils refusent de voir leurs fils mourir pour la même clique parisienne qui prend le pays en otage tous les 20 ans et eux mêmes crever de faim, la populace communarde fait un gros caprice et veut faire la révolution pour obtenir le droit d’envoyer toute la France mourir devant les canons Krupp.

Philippe Fabry