Analyse claire de Stéphane Edouard sur la finalité de l’instrumentalisation par la gauche des lobbies LGBT, indigénistes, végans, etc.

Quel est le but final de diviser la société en micro-communautés qui ne se reconnaissent qu’entre elles-même ? Et bien à la fin c’est de vendre un truc

Stéphane Edouard

Ici l’exemple d’Alice Coffin, élue Europe Écologie Les Verts à la Mairie de Paris et militante LGBT (profil parfait), financée par la bourse américaine Fulbright (dont a aussi bénéficié l’indigéniste Rokhaya Diallo) et formée aux idéologies d’extrême gauche américaine dont l’objectif est de vendre aux bureaucraties des grandes entreprises et administrations l’obligation de recruter et de payer des « Social Justice Warriors » chargés de créer des problèmes infinis (bien illustré à la fin de la vidéo) en se basant sur les exigences de minorités communautaires extrémistes, pour résoudre ensuite ses problèmes. La promotion de la théorie du genre n’a pas d’autres objectifs.

Les Soft Power de la gauche, des technocrates de l’étatisme, de l’Islam radical et de la Chine communiste (notamment au travers de ces instituts Confucius) convergent donc absolument : leur objectif commun est la destruction de la liberté individuelle et de la société occidentale.

Pour les premiers il s’agit d’imposer à la majorité la dictature et la « vente » de minorités, pour les seconds diviser pour mieux régner et faire du clientélisme électoral, pour la Chine de devenir les maîtres du monde, et pour l’intégrisme islamiste (wahhabite notamment), inciter des partitionnements étatiques et créer des califats.

Voir à partir de 00.21:13 dans la vidéo.