Le vrai libéralisme, voie vers l’égalité devant le droit, la liberté et la fraternité, contre la corruption et la violence

À cause de l’éducation collectiviste ou l’appartenance à une caste de bénéficiaires de l’étatisme, le libéralisme (doctrine du droit) est confondu avec le capitalisme de connivence et la recherche de rentes débouchants sur la croyance que le collectivisme (communisme, national-socialisme) serait la seule voie, alors qu’il ne conduit qu’à l’égoïsme, aux inégalités, à la coercition, au totalitarisme.

Pourtant de nombreux auteurs mondialement connus logiquement ignorés dans les écoles et universités françaises ont analysé cela depuis longtemps : le landais Frédéric Bastiat, Tocqueville, Murray, Hayek (La route de la servitude), et bien d’autres…

Ne pas confondre

  • Libertaires (anarchistes de gauche) : abolir l’État pour évoluer vers une utopie autogestionnaire
  • Libertariens : fais ce que tu veux de ce que tu as avec ceux qui sont d’accord. Respect des libertés individuelles et refus de l’influence trop forte de l’État.

Point commun : la défiance vis-à-vis de l’État, qui, et sa dérive bureaucratique et technocratique, ne peut que déboucher sur la corruption, les inégalités, la coercition et le totalitarisme. La société n’a en aucun cas à lui imposer quelque chose, surtout de façon coercitive, du moins tant qu’il ne contrevient pas lui-même au droit naturel d’autrui.