Les États ont besoin des barbouzes issues de la criminalité pour conserver leur territoire politique. Le contrôle ploutocratique international de l’alimentation a besoin de frontières ouvertes, qui est, de fait, la prise de pouvoir par la mafia internationale.

Les monstrueux Vanguard, State Street et Blackrock et leurs actionnaires contrôlant la poignée de multinationales alimentaires ont besoin que les frontières soient ouvertes pour que les camions circulent de manière démentielle pour la gestion d’énormes flux tendus alimentaires (pas de stocks fixes qui seraient des immobilisations financières, les stocks sont en mouvement permanent dans les bateaux, les avions et les camions) pour nous rendre tous dépendants (alimentairement) et nous contrôler, pour contrôler les marchés et faire des marges.
Perdre la souveraineté et l’autonomie alimentaire nous rend dépendants.
La « drogue paix sociale » rend aussi les clients et les maires dépendants, avec des pactisations entre mafias en col blanc et trafiquants, discutées dans les loges des associations « de cercles philosophiques« .
La nécessité d’absence de frontières permet aussi les trafics humains, d’organes, d’enfants, d’armes et les go fast, nécessaires sur le plan économique et politique pour des pays qui n’ont plus d’industrie (exportée dans les usines à charbon en Chine, cf. le bilan carbone pour les neuneus) et besoin de paix sociale dans les banlieues. La came et les neuroleptiques qui enrichissent les labos dealers financés par la sécurité sociale font le job.
Ces mêmes multinationales ont besoin d’achever les dernières poches d’autonomie que constitue la paysannerie pas seulement pour détruire une concurrence, mais aussi afin de prendre le contrôle total des terres, empoisonner les consommateurs avec la bouffe industrielle afin aussi de pouvoir vendre des médicaments et des traitements aux consommateurs rendus malades par la bouffe industrielle.
Le producteur local, sa bouffe saine et le circuit court est un concurrent et un tueur de mafias. Mais chut…, hein.
SOS Maires Tout est histoire de guerre de territoires et de frontières, que ce soit dans les banlieues ou dans les champs. La fin de ces mafias ne peut passer que par notre souveraineté et notre autonomie alimentaire et la reprise de contrôle de nos frontières pour protéger les enfants et nos territoires de la prédation criminelle.
C’est pour cela aussi que les multinationales ont besoin de la surveillance de masse : pour empêcher l’autonomie et la perte de contrôle des circuits sur lesquels ils margent.
Les trafiquants des banlieues aussi ont besoin de contrôler leur population pour empêcher les émeutes et les révoltes afin de continuer tranquillement leur business (as usual). Les émeutes de 2005 eurent lieu partout dans les banlieues françaises sauf à Marseille, devinez pourquoi… sinon regardez la vidéo d’illustration de ce billet et vous comprendrez TOUT.
La ville de Montfermeil : la démonstration par le réel que la solution existe
Et puis il y a eu la jurisprudence Montfermeil « ville nourricière » après 2005, qui a bien des titres, est bien la démonstration à la fois de ce qui est à l’œuvre, et de ce qu’il faut faire.
Après les émeutes de 2005 qui avait enflammées les banlieues françaises, Xavier Lemoine, le maire de Montfermeil en Seine-Saint-Denis, a mis en place des jardins partagés au pied des tours de sa ville, ce qui a eu pour résultat de :
- Pacifier sa ville
- Rapprocher les communautés
- Faire de sa ville une de plus attractives du 93 du point de vue immobilier
- Faire fuir les dealers et leurs guetteurs au pied des tours, ce qui démontre que ce n’est pas forcément en pactisant avec la pègre et en laissant la drogue circuler librement qu’on ramène la paix (des canons…) dans les banlieues « difficiles »

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titou.net 
1 Response
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