août 9, 2017

Quai de la station de Métro Bastille à Paris, ciel ouvert de nuit

Passer du rôle passif de spectateur-victime à celui d’acteur de notre bien être dans le monde moderne

Les modes de vie cherchant à optimiser l’autonomie, la résilience et la collaboration à l’échelle du quartier, du hameau, du village, sont une question de sécurité et d’anticipation des risques de ruptures de la normalité à caractère plus ou moins exceptionnel. Ce sont des façons de vivre au quotidien consistant à prendre ses responsabilités d’être humain, et plus que cela, un chemin de liberté et la construction d’un monde meilleur. Dans un monde sans cesse complexifié et de plus en plus fragilisé où le confort routinier procuré nos systèmes de support génère un égoïsme inhibiteur de solidarités et de collaborations locales et créant de fortes dépendances pour assurer nos besoins fondamentaux. C’est une réalité oubliée, occultée, anxyogène