Résistance

Les confinements tuent et c’est incontestable

L’incontestable réalité, c’est que si vous êtes d’accord avec ces confinements, vous êtes d’accord pour qu’une partie de la population soit condamnée à mort.Ceci n’est plus discutable. C’est même ouvertement admis, bien que trop tardivement par l’Organisation Mondiale de la Santé.

L’Islam n’est pas une race mais une idéologie. Comme toute idéologie elle peut être critiquée. L’islamophobie n’est qu’une idée comme une autre. Les islamistes se sont emparés du mot et s’en font depuis des années un bouclier. Ceux qui le reprennent s’en font, consciemment ou non, les complices. Désormais complices criminels de décapitation sur notre sol. Par complaisance clientéliste pour certains, par crétinisme gauchiste pour d’autres.

Samuel Paty

Chacun assume sa merde, et paye sa part. Voilà la justice, la seule et l’unique

Chacun assume sa merde, et paye sa part. Voilà la justice, la seule et l’unique. Chacun se prend en main, et cesse d’attendre les becquées de l’État. Voilà le début de la fierté.Soit adulte. Chacun de tes actes te juge. Tu acceptes de mourrir parce que ta préfecture n’a pas de masques à te donner ? Et pourquoi n’en as-tu pas chez toi ? Et pourquoi n’as-tu que des pâtes pour trois jours ? Pas de bois, ni de puits, ni de balles ?La moindre crise te met à genoux, parce que tu refuses d’être prêt. Parce que tu crois...

Le totalitarisme en 3 étapes : isolement, humiliation, insécurité

Sais-tu comment les régimes totalitaires s’y prennent, pour laver les cerveaux ? Toujours en 3 étapes, toujours les mêmes : isolement, humiliation, insécurité. Et dès que l’état de nervosité du sujet atteint le point de rupture, le bourreau joue la bienveillance. Le sujet rend alors les armes. Il se met à croire. Il renonce à son autonomie. Il se délègue. Il transfère son identité sur l’ego supérieur du bourreau. Il finit par ne plus concevoir la vie qu’à travers son prisme… Il va s’attribuer la totalité des pensées qu’on lui suggère, avec un fanatisme qui surprendra le bourreau lui-même…Chez le...

La crise du Covid, une fenêtre ouverte sur l’avenir

La crise du Covid était une fenêtre ouverte sur l’avenir. En direct, sur toutes les chaînes. Un échantillon du futur. Une vision précise de tout ce qui t’attend. Et finalement une démonstration de tout ce que tu es.Et tu as tout vu un instant. Vu à quel point L’État n’était pas prêt, ne servait à rien. Incapable de gérer la plus petite oscillation de ce monde… Et pendant que paradaient les menteurs habituels, se vidaient les caisses et se remplissaient les morgues, tu as compris. Compris combien tu étais seul et dépendant, combien cette société était fragile, à la merci...

Tu croyais à ton autonomie ? Pauvre, pauvre ami

Tu croyais à ton autonomie ? Pauvre, pauvre ami. T’es-tu même déjà posé la question ? Combien de choses crois-tu sans les avoir vérifiées ? Que comprends-tu réellement du monde qui t’entoure ? De l’électronique, de ce matériel connecté, de la société, du marché, de ses réseaux de distribution ? La technologie la plus banale te dépasse. La division du travail rend chaque être dépendant de centaines d’autres… Comme ta chaudière dépend de ce composant vital, qui n’a de fournisseur qu’à l’autre bout du monde. Allégorie de la société. Il suffit qu’un fusible saute quelque part pour que tout s’effondre....

Extension du domaine du masque: un cancer avec ses métastases, une sociopathologie politique contemporaine

Les totalitarismes évoluent, s’adaptent et mutent, comme les virus.Le monde d’après est encore pire que le monde d’avant, c’est une victoire totale pour le progressisme mondialisée écologiste à présent hygiéniste, sanitaire masqué, antiraciste et racialiste visant l’utopie du risque zéro au nom de la bonne santé décrétée et paramétrée par des scientifiques et des politiques aux abois qui profitent de cette opportunité en fonction de leurs agendas respectifs. Rien ne justifie cette mesure qui ne relève que de la politique et non de la science.Orwell et Huxley l’avaient prophétisé, Staline, Hitler et Mao l’avaient rêvé, l’URSS le souhaitait, la globalisation...

Les gouvernements aiment les pandémies pour la même raison qu’ils aiment la guerre. Parce qu’elles leur donnent la capacité d’imposer des contrôles à la population, qui ne les accepterait jamais dans d’autres circonstances. Créer des institutions et des mécanismes pour orchestrer et imposer l’obéissance

Robert Kennedy Jr., Berlin, 29 août 2020