janvier 2020

En cas d’effondrement, il n’y a pas d’avenir dans les grandes villes – Alexandre Boisson

« En cas d’effondrement, il n’y a pas d’avenir dans les grandes villes. Ou alors vraiment plus tard, une fois qu’on aura réussi la phase d’autonomisation”. “L’effondrement (…) profitera d’abord à des individus qui ont l’expérience des circuits économiques parallèles, qui font aujourd’hui leur business avec la drogue et les kalachnikovs…. Ceux qui vont se retrouver en position de force sont donc des individus n’ayant pas le même rapport à la vie que nous. Pour être clair, on a aujourd’hui en France 65 millions de citoyens, près de 800 zones urbaines sensibles et 15 000 kalachnikovs en circulation… Donc on...